Ce palace dont le nom rime avec quiétude possède entre autres choses un Spa. Ouvert sur un jardin à l’italienne, ce temple du repli sur soit s’articule en deux espaces autour de la piscine intérieure chauffée. L’une pour le sport et l’autre dédié aux soins. C’est de ce côté que le changement vient cette année puisque la marque Valmont vient y rejoindre Cinq Mondes. La marque suisse, renommée dans la cosmétique cellulaire anti âge, y a même développé un soin spécifique : le Soleil de la Messardière. Soin de 90 minutes, il a été créé pour apaiser et régénérer la peau du visage et du décolleté, fragilisée par l’exposition prolongée au soleil de l’été.
Changement de taille également du côté de la salle. Le chef change et c’est désormais David Millet qui, après avoir passé l’hiver aux Airelles à Courchevel, prend la direction des cuisines du palace tropézien. Formé auprès des plus grands comme Pierre Gagnaire ou Alain Ducasse, il propose une cuisine raffinée et moderne influencée par ses rencontres mais également par sa gourmandise personnelle et son goût des repas entre amis ou en famille. Ses talents conjugués aux qualités de la Messardière donneront-il à la Cité du Bailly de Suffren de nouvelles étoiles ? On ne peut que le souhaiter…

D’autant plus que les produits sont au cœur des préoccupations du palace qui, on ne le sait pas assez, est également producteur de miel et d’huile d’olive.
Son parc lui fourni chaque année une récolte d’huile vierge de grande qualité qui fait désormais partie des cadeaux faits aux clients de l’hôtel. Les produits chimiques et autres pesticides étant interdits sur le domaine, les abeilles sont nombreuses à butiner tout au long du printemps, assurant une récolte qui permet des petits déjeuners uniques dans les chambres, terrasses ou dans la salle du Château de la Messardière.
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